La culture de la Tunisie forme une synthèse des différentes cultures amazighe, punique, romaine, juive, chrétienne, arabe, musulmane, turque et française, qu'elle a intégrées à des degrés divers, ainsi que l'influence des dynasties successives qui ont régné sur le pays.
La Tunisie a en effet été un carrefour de civilisations et sa culture, héritage de quelque 3 000 ans d'histoire, témoigne d'un pays qui, par sa position géographique en plein bassin méditerranéen, a été au cœur du mouvement d'expansion des grandes civilisations du mare nostrum et des principales religions monothéistes.
Culture de la TUNISIE:
La culture de la Tunisie est une synthèse de civilisations diverses.
La Tunisie se distingue par le foisonnement de son activité culturelle et son apport à la civilisation universelle.
Activités Culturelles :
de nouvelles institutions sont mises en place pour servir comme point de référence dans les divers domaines de l'activité culturelle. Parmi ces institutions, on peut citer le Centre national de danse de Borj El Baccouche, le Palais du Baron d'Erlanger, devenu un Centre de musique arabe et méditerranéenne, et le Musée Husseinite (couvrant la période des Beys), au palais de Ksar-Saïd.
Le Centre culturel international de Hammamet a été rénové pour devenir la Maison de la Méditerranée, et se spécialiser principalement dans les arts et techniques de théâtre.
Cinéma :
La Tunisie rentabilise ses richesses naturelles en attirant les producteurs de Hollywood. Les plus spectaculaires utilisations des merveilleux paysages du désert se retrouvent dans
Le Patient anglais (1996), d'Anthony Minghella, dont les images sublimes des environs de Ksar Ghilane et les travellings langoureux sur les étendues du plateau de Nefta ont contribué à lui attribuer une pluie d'Oscars. George Lucas a également filmé la trilogie de la Guerre des étoiles en 1977 et la suite des Star Wars en 1990, à Tataouine et à chott El-Djerid.
Parmi les cinéastes tunisiens, citons Moufida Tlatli (Les silences du palais), Ferid Boughedir (Halfaouine) et Selma Baccar (Fleur d'oubli).
La Tunisie a en effet été un carrefour de civilisations et sa culture, héritage de quelque 3 000 ans d'histoire, témoigne d'un pays qui, par sa position géographique en plein bassin méditerranéen, a été au cœur du mouvement d'expansion des grandes civilisations du mare nostrum et des principales religions monothéistes.
Culture de la TUNISIE:
La culture de la Tunisie est une synthèse de civilisations diverses.
La Tunisie se distingue par le foisonnement de son activité culturelle et son apport à la civilisation universelle.
Les sites et les musées de ce pays témoignent de son prestigieux passé.
Ces vestiges confortent une vocation qu'attestent aujourd'hui les multiples institutions créées pour servir et diffuser la culture tunisienne à l'intérieur et à l'extérieur du pays.
Ces vestiges confortent une vocation qu'attestent aujourd'hui les multiples institutions créées pour servir et diffuser la culture tunisienne à l'intérieur et à l'extérieur du pays.
Musées, sites et monuments :
Les moteurs de la culture tunisienne actuelle sont très divers et marqués par cet héritage métissé : les musées comme celui du Bardo, l’architecture de villes comme Sidi Bou Saïd ou des médinas de Tunis et Sousse, et la musique mêlant influences andalouse et ottomane.
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Activités Culturelles :
de nouvelles institutions sont mises en place pour servir comme point de référence dans les divers domaines de l'activité culturelle. Parmi ces institutions, on peut citer le Centre national de danse de Borj El Baccouche, le Palais du Baron d'Erlanger, devenu un Centre de musique arabe et méditerranéenne, et le Musée Husseinite (couvrant la période des Beys), au palais de Ksar-Saïd.
Le Centre culturel international de Hammamet a été rénové pour devenir la Maison de la Méditerranée, et se spécialiser principalement dans les arts et techniques de théâtre.
Cinéma :
La Tunisie rentabilise ses richesses naturelles en attirant les producteurs de Hollywood. Les plus spectaculaires utilisations des merveilleux paysages du désert se retrouvent dans
Le Patient anglais (1996), d'Anthony Minghella, dont les images sublimes des environs de Ksar Ghilane et les travellings langoureux sur les étendues du plateau de Nefta ont contribué à lui attribuer une pluie d'Oscars. George Lucas a également filmé la trilogie de la Guerre des étoiles en 1977 et la suite des Star Wars en 1990, à Tataouine et à chott El-Djerid.
Parmi les cinéastes tunisiens, citons Moufida Tlatli (Les silences du palais), Ferid Boughedir (Halfaouine) et Selma Baccar (Fleur d'oubli).
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